ISO 31000 ou le Risque Revisité
Parce que le risque n’est pas toujours synonyme de danger, il faut apprendre à optimiser les effets de l’incertitude
Parce que le risque n’est pas toujours synonyme de danger, il faut apprendre à optimiser les effets de l’incertitude Le risque a longtemps été entendu au sens d’un danger, dont il convient de se protéger. Or il peut également être une opportunité, le moyen d’atteindre un objectif. Pour cette raison, la définition du risque a évolué et la norme ISO 31000 le définit comme l’effet de l’incertitude sur l’atteinte des objectifs. L’incertitude n’est a priori ni bonne ni mauvaise. Il convient simplement de la maîtriser pour en optimiser les effets. Cette nouvelle compréhension du risque, plus en adéquation avec ce qu’est l’entreprise, introduit une nouvelle forme de management des risques. Ce dernier consiste à repérer les lieux d’incertitude relativement à l’objectif poursuivi, définir les principes de gestion de cette incertitude, puis suivre son évolution à travers un tableau de bord revisité. Cette approche nous permet de dépasser le cadre assurantiel classique et d’offrir à nos clients une démarche simple (sans les contraintes lourdes d’une certification traditionnelle), facilitant l’atteinte de leurs objectifs et la pérennisation de leur business.
ISO 26000 : un Outil Ignoré
La norme ISO 26000 est récente (2010) et porte sur la responsabilité sociétale des organisations. Elle propose une méthode de mise en œuvre dans une organisation et a pour objectif de permettre à l’entreprise d’améliorer sa contribution au développement durable. Ces réflexions ne sont pas menées sans tenir compte des enjeux de l’entreprise ; au contraire elles permettent à l’organisation de mesurer et d’assumer les conséquences de ses décisions et activités sur la société. La RSE est devenue un enjeu stratégique car consommateurs, clients et donneurs d’ordre sont de plus en plus attentifs à cette nouvelle création de valeur et en font un critère de choix.
Caractérisée par le service du client, notre offre ne se réduit plus au seul placement de vos risques assurantiels, elle se distingue par une prestation inédite : l’appréciation de votre gestion du risque (méthodologie ISO 31000) et de votre engagement en termes de RSE (méthodologie ISO 26000). Notre politique consiste à se démarquer d’une ambition commerciale classique en misant sur la qualité de nos interventions et une approche globale.
Nous nous engageons à :
Le premier modèle où l’intermédiaire n’est plus dépendant de la compagnie d’assurance
Comment un parti intéressé peut-il prétendre conseiller ?
L’apparente diversité des multiples formes de distribution de l’assurance en France masque une consternante uniformité. Réseaux traditionnels ou canaux modernes, tous autant qu’ils sont (agents généraux, Mutuelles, réseaux bancaires, courtiers, téléphone, internet, comparateurs) sont tributaires du même vice de forme : l’intermédiaire touche sa rémunération auprès de la compagnie d’assurance. A l’heure actuelle, tous les acteurs de la scène économique sont captifs de la pression financière : aujourd’hui plus que jamais les intermédiaires restent les commerciaux des compagnies qui leur versent les commissions. Ces commissions, qui plus est, leur sont versées à proportion des primes que vous déboursez : plus vous payez, plus ils gagnent…
Libérer le métier des intérêts déplacés
Afin que nos services répondent au vrai sens du mot « conseil », il nous est apparu nécessaire de changer la donne et de nous positionner différemment des autres intermédiaires en assurance. En tant que conseil en assurance, nous voulons assumer notre mission initiale de consultant. Pour ce faire, nous avons échafaudé un nouveau système de rémunération qui nous exempte de toute sujétion financière vis-à-vis des compagnies d’assurance. Nous acquittant d’un service à l’avantage de l’assuré, il est logique que nous percevions de lui des honoraires. Ainsi nous avons toute la souplesse requise pour prospecter auprès des différentes compagnies et déceler la police qui répond vraiment à ses besoins. Notre posture impartiale donne toute latitude pour souscrire le contrat le plus économique, toutes garanties égales par ailleurs, voire souvent supérieures ! Un objectif réussi de 20% d’économie Exploitant au maximum notre statut d’intermédiaire autonome, nous diminuons de façon significative les coûts parasites de gestion et de commission. Au total, le modèle rend possible un minimum de 20% d’économie, à garanties et franchises équivalentes.